Deux refus de Jésus
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Deux refus de Jésus
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“Maître, nous désirons voir un signe de ta part.”
“Quelqu’un lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors et cherchent à te parler.” Matthieu 12. 38, 47
Jésus n’a pas souvent refusé de répondre à une demande. Les versets du jour nous parlent pourtant de deux refus.
1 - Jésus a déjà accompli devant les scribes et les pharisiens beaucoup de miracles. Pourtant ils ont l’audace de lui demander un signe supplémentaire pour leur prouver qu’il est bien le Messie. Leur hypocrisie est évidente : ils ont déjà décidé de condamner celui qu’ils appellent “Maître”. Jésus refuse de leur accorder le signe qu’ils réclament. Il va seulement leur rappeler que Jonas est un signe, celui de sa mort et de sa résurrection, lui le Fils de l’homme : “Comme Jonas fut dans le ventre du cétacé trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre” (Matt. 12. 39, 40).
Aujourd’hui encore, beaucoup de personnes recherchent des manifestations spectaculaires pour se convaincre, disent-elles, de la vérité du christianisme : « Si je pouvais seulement voir un miracle, alors je croirais en Dieu ». Où est la foi dans tout cela ? Comme Jésus le déclare à Thomas après sa résurrection : “Bienheureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru” (Jean 20. 29).
2 - Pendant que Jésus parlait encore, sa mère et ses frères cherchent à l’approcher. Sa famille est déroutée par son ministère. Ils pensent même qu’il a perdu la raison. Mais, plutôt que de venir eux-mêmes près de lui, ils restent à distance et envoient quelqu’un l’appeler : “Voici, ta mère et tes frères sont dehors et cherchent à te parler” (voir aussi Marc 3. 21, 31-35). Jésus ne leur accorde pas cet entretien. Il se tourne vers ses disciples pour désigner sa vraie famille : “Voici ma mère et mes frères ; car quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère et ma sœur et ma mère” (Matt. 12. 49, 50).
Jésus ne reniait pas sa famille terrestre, mais, par cette déclaration paradoxale, il soulignait le prix infini qu’il attache à l’obéissance à Dieu (Matt. 6. 10 ; 7. 21). Dans le royaume de Dieu, on n’est pas un enfant de Dieu parce qu’on est né dans une famille chrétienne. Le premier pas d’obéissance à la volonté de Dieu consiste à croire au Seigneur Jésus (Jean 6. 29).
Source (Plaire au Seigneur)
“Maître, nous désirons voir un signe de ta part.”
“Quelqu’un lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors et cherchent à te parler.” Matthieu 12. 38, 47
Jésus n’a pas souvent refusé de répondre à une demande. Les versets du jour nous parlent pourtant de deux refus.
1 - Jésus a déjà accompli devant les scribes et les pharisiens beaucoup de miracles. Pourtant ils ont l’audace de lui demander un signe supplémentaire pour leur prouver qu’il est bien le Messie. Leur hypocrisie est évidente : ils ont déjà décidé de condamner celui qu’ils appellent “Maître”. Jésus refuse de leur accorder le signe qu’ils réclament. Il va seulement leur rappeler que Jonas est un signe, celui de sa mort et de sa résurrection, lui le Fils de l’homme : “Comme Jonas fut dans le ventre du cétacé trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre” (Matt. 12. 39, 40).
Aujourd’hui encore, beaucoup de personnes recherchent des manifestations spectaculaires pour se convaincre, disent-elles, de la vérité du christianisme : « Si je pouvais seulement voir un miracle, alors je croirais en Dieu ». Où est la foi dans tout cela ? Comme Jésus le déclare à Thomas après sa résurrection : “Bienheureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru” (Jean 20. 29).
2 - Pendant que Jésus parlait encore, sa mère et ses frères cherchent à l’approcher. Sa famille est déroutée par son ministère. Ils pensent même qu’il a perdu la raison. Mais, plutôt que de venir eux-mêmes près de lui, ils restent à distance et envoient quelqu’un l’appeler : “Voici, ta mère et tes frères sont dehors et cherchent à te parler” (voir aussi Marc 3. 21, 31-35). Jésus ne leur accorde pas cet entretien. Il se tourne vers ses disciples pour désigner sa vraie famille : “Voici ma mère et mes frères ; car quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère et ma sœur et ma mère” (Matt. 12. 49, 50).
Jésus ne reniait pas sa famille terrestre, mais, par cette déclaration paradoxale, il soulignait le prix infini qu’il attache à l’obéissance à Dieu (Matt. 6. 10 ; 7. 21). Dans le royaume de Dieu, on n’est pas un enfant de Dieu parce qu’on est né dans une famille chrétienne. Le premier pas d’obéissance à la volonté de Dieu consiste à croire au Seigneur Jésus (Jean 6. 29).
Source (Plaire au Seigneur)
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